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oids du monde et le sombre avenir du siècle. On a
dépeint
ce clerc moderne, accablé par tous les malheurs du temps, dont il fei
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e ; et le poète : « Mais où trouver des mots pour
dépeindre
, même faiblement, la merveille de la vision qui s’offrit à moi, et qu
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fit la vie même. » Non sans lucidité, Moritz a su
dépeindre
l’état de conscience qui naît de cet obscur déchirement : « C’était c