1 iminel, s’il n’était d’abord impossible, de faire dépendre l’unité du continent d’une préalable mise au pas, intellectuelle ou p

2 t aujourd’hui qu’il faut en courir l’aventure. Il dépend de nous, Européens, de prendre la guerre de vitesse. Il dépend de nou

3 s, Européens, de prendre la guerre de vitesse. Il dépend de nous que le jour soit prochain où les voix concertées de l’Europe,

4 : 1. la science a toujours raison ; 2. le bonheur dépend de la possession de certains objets neufs ; 3. aller plus vite est un

5 iminel, s’il n’était d’abord impossible, de faire dépendre l’unité du continent d’une préalable mise au pas, intellectuelle ou p

6 t aujourd’hui qu’il faut en courir l’aventure. Il dépend de nous, Européens, de prendre la guerre de vitesse. Il dépend de nou

7 s, Européens, de prendre la guerre de vitesse. Il dépend de nous que le jour soit prochain où les voix concertées de l’Europe,

8 à défendre un isolationnisme suisse : notre pays dépend , plus qu’aucun autre, de l’Europe tout entière et de ses destinées. C

9 engagés. À son point de crise, où nous sommes, il dépend en partie de nous que l’espoir ait raison du désespoir. Mais il faut

10 itement compte que l’avenir de l’union européenne dépend en premier lieu de la création d’une élite responsable de jeunes gens

11 donc que nous en fassions ? (On m’assure que cela dépend aussi de Staline.) 2° « Les États-Unis d’Europe… Eh bien, il paraît q