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e chance devant l’Histoire ne l’est pas moins. Il
dépend
en partie de nous que nous trouvions la solution de l’éternel problèm
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ion de l’éternel problème individu-communauté. Il
dépend
en partie de nous de refaire une société vivable, une commune mesure
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penser avec les mains. Il nous faut voir que tout
dépend
en premier lieu de notre état d’esprit. S’il change, tout commence à
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possible — quelle que soit l’issue de la guerre —
dépend
de notre capacité d’accepter des vérités dures. Car tout le mal est v
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’Allemagne. Il était évident que notre neutralité
dépendait
donc, au début de ce siècle, du fameux « équilibre européen ». Mais