1 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
1 fléau de Dieu (c’est une nuance !) son destin ne dépend plus des hommes, pas même de l’homme Adolf Hitler. À plus forte raiso
2 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
2 uccès ou insuccès ne signifient rien en soi, tout dépend du but que l’on vise. Mais il faut bien rappeler que le plus grand su
3 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
3 t que nous ne sommes pas Dieu. Car alors, tout ne dépend pas de nous ! Le principe et la fin de l’Ordre, la sommation, le sens
4 n passant, par une prière née dans un cœur. Il ne dépend pas de nous que ces syllabes vivent : tout d’un coup elles nous ont p