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fléau de Dieu (c’est une nuance !), son destin ne
dépend
plus des hommes, pas même de l’homme Adolf Hitler. À plus forte raiso
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, c’était la seule question. Et le succès pouvait
dépendre
d’un caprice de la Destinée, d’une humeur de ce Monsieur tout puissan
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Le pouvoir d’un régime fondé sur le grand nombre
dépend
des caprices féminins de l’Opinion. Il en résulte fatalement que le p
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uccès ou insuccès ne signifient rien en soi, tout
dépend
du but que l’on vise. Mais il faut bien rappeler que le plus grand su
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t que nous ne sommes pas Dieu. Car alors, tout ne
dépend
pas de nous ! Le principe et la fin de l’Ordre, la sommation, le sens
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n passant, par une prière née dans un cœur. Il ne
dépend
pas de nous que ces syllabes vivent : tout d’un coup elles nous ont p