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l’habitant sédentaire du pays. La ligne d’horizon
dépend
à chaque instant de l’endroit où nous nous tenons, elle se déplace et
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is de sa propre nation ? Le sort de la démocratie
dépend
de la solution qui sera donnée en fait à ce problème, au cours des mo
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t et devrait être le remède à cette paix-là. Tout
dépend
de l’usage que l’on en fait. Le même poison, selon la dose, paralyse
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suffit de savoir ce qui compte, et que la joie ne
dépend
pas de nos misères. J’y songeais l’autre soir, à Orléans, en entendan
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rais heureux sans cesse et en tout lieu ! Si tout
dépendait
d’un avenir assez certain et assez glorieux pour disqualifier nos sou
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it ? Ou passerons-nous l’hiver ici ? Plus rien ne
dépend
de nous. C’est notre liberté. Les hommes sont à la soupe. Nous dînero
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aginer ! — que le bonheur et la force d’un peuple
dépendent
de sa grandeur physique, de sa mise au pas militaire, de son arroganc
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elle-ci en tout cas : que de nouveau notre avenir
dépend
de nous. Et notre mort. La mort était si simple et absurde en série.
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cle étant la Relativité — et toutes les autres en
dépendent
— il s’agirait de ne pas l’oublier à chaque instant. Je n’ai donc pas