1 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
1 vre humaine. Voici donc un fait mesurable qui ne dépend ni de notre orgueil, ni de notre humilité d’Européens, un fait aiséme
2 la Renaissance. Aujourd’hui ses instituteurs, qui dépendent de la mairie, sont souvent plus sensibles aux débats du café qu’aux o
2 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
3 ulturel. Cependant, le sort d’une civilisation ne dépend pas seulement de cette espèce-là de chances. Il dépend tout autant de
4 d pas seulement de cette espèce-là de chances. Il dépend tout autant de sa vocation active — j’entends de la prise de conscien
5 ent le même taux, cependant que les États-Unis ne dépendent du reste du monde que pour 5 % au maximum de leur produit national. L
6 e civilisation. Les vraies chances de l’Europe ne dépendent pas d’une juste prévision de ce que d’autres feront. Elles dépendent
7 juste prévision de ce que d’autres feront. Elles dépendent de l’esprit, agissant par nos mains. Le temps n’est plus pour nous de