1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 attitudes de l’homme et de leurs suites : tout en dépend , et d’abord notre avenir. Si nous ne retrouvons pas le secret perdu d
2 celle de l’eau, est celle de l’alimentation, qui dépend pour une large part du cycle hydrographique. Les sécheresses produise
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
3 et de l’urbanisme, bien qu’on nous dise qu’il en dépend , mais je n’en crois rien. Car les problèmes que nous pose l’énergie n
4 ien. Car les problèmes que nous pose l’énergie ne dépendent pas des grands « impératifs techniques », des « lois » que l’on préte
5 r, ni de la « marche inexorable du progrès ». Ils dépendent au contraire des conceptions de l’homme et de son rôle sur la Terre q
6 ine, au moins, de l’énergie. Nous ne pouvons plus dépendre des émirs, et le pétrole va s’épuiser ! Nous n’avons plus le choix !
7 (La République fédérale, la Hollande et le Japon dépendent également de La Hague pour cet aspect de leur « indépendance énergéti
8 serait-il en cas de guerre ? Toutes nos centrales dépendent d’autres pays, voire d’autres continents, pour leur uranium, leur tec
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
9 humaines, enregistrées par le domaine public dont dépend la qualité de vie des personnes et des groupes, dans une communauté d
10 i en reste la condition autant que la résultante, dépend lui-même, dans sa genèse et son évolution, de contingences historique
11 occidentaux savaient que l’économie industrielle dépend essentiellement de l’énergie, qui, en Europe, dépend à 80 % (USA 30 %
12 end essentiellement de l’énergie, qui, en Europe, dépend à 80 % (USA 30 %) du monde arabe. Tous affirmaient cependant — surtou
13 nous, dans tel avenir plus ou moins proche qu’il dépend de nous seuls — sinon de qui ? — d’éviter, en nous tournant ailleurs
14 défis, amusants, dramatiques, passionnants. Tout dépend de nous. C’est notre affaire. Formuler, décider, assumer une politiqu
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Un « Essai sur l’avenir » en 1948
15 1. la science a toujours raison ; 2. le bonheur dépend de la possession de certains objets neufs ; 3. aller plus vite est u
5 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
16 r, non seulement de la culture mais de la nature, dépend de plus en plus de nos options de fait, délibérées ou non, consciente
17 re à quel point l’avenir, lui aussi, désormais va dépendre de nous, de nos désirs, de leur éducation, de leur maîtrise, et des v
6 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
18 ne. Pour une prospective intuitive L’avenir dépend de nos passions, pas de nos calculs. C’est pourquoi, paradoxalement,
19 évisibles en fin de compte que les phénomènes qui dépendent de facteurs non quantitatifs, non calculables, passionnels. Et, par e
20 ns le système ultracomplexe des interactions dont dépend notre avenir ? Il est trop clair qu’on ne peut conduire un Boeing 747
7 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
21 lle-même suspendue aux ressources de pétrole, qui dépendent de la politique des Arabes, laquelle est déterminée par l’existence d
8 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
22 dont nul ne peut mesurer les effets. Notre destin dépend de nos désirs, de nos finalités, de ce qui est à venir, de ce qui vie
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
23 ux, inhérents à notre nature. De nos désirs réels dépend qu’elles s’étendent ou non ; que les désastres écologiques en cours d
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
24 rement, me disais-je, l’homme est un aliéné. S’il dépend d’autre chose que de sa vocation — d’une capitale, d’un mythe, d’une
25 r peu de temps, dans la marge de groupes dont ils dépendent encore pour subsister dans leur refus. Un monde de solitaires est con
26 tion politique analogue. Quant à la presse : elle dépendait des agences nationales très liées à l’État, Havas, Reuter, Wolff, Ste
27 n essaie de nous faire croire qu’un avenir qui ne dépendrait plus des agences de l’État, c’est-à-dire excluant le gaspillage progr
11 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
28 ilité des liens systémiques de réseaux, et qui ne dépendent plus d’un territoire borné ; des régions à la fois ouvertes et fermée
29 endue de l’État ». De l’une et l’autre dimensions dépend directement la participation politique des citoyens : au très petit É
30 point de communauté passé telles dimensions. Tout dépend donc des petites unités. Celui que je tiens pour le plus grand du xi
12 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
31 ple citoyen découvre un jour que l’autogestion ne dépend pas des partis politiques, et n’est pas plus de gauche que de droite
32 enseignement, de la fiscalité et de l’armée) doit dépendre d’un seul et même organisme, l’État, dans les limites d’un seul et mê
13 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
33 alise les structures et les valeurs. Et voilà qui dépend de l’éducation. L’Europe de l’an 2000 sera gérée soit par les Europée
34 arrêtaient sur nos « croquis » scolaires) ? Il ne dépend souvent que de l’enseignant (surtout s’il a l’appui de la population)
35 tous qu’elle n’est pas saine. Et cependant, tout dépend de cette union.   3. — La véritable alternative du siècle. En 1949,
36 là d’inévitable, puisque, en fin de compte, tout dépendra de la seule vitalité de notre espèce. L’hypothèse qui me paraît la pl
14 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
37 ui de l’avenir, sinon d’abord qu’il dure, et cela dépend de nous. C’est pourquoi cette génération ne recevra pas d’autre oracl