1
précisément, comme « le sentiment de l’existence
dépouillé
de toute autre affection » (entendons : dégagé de toute passion, comm
2
ome III, p. 287.) Et ceci : « Un homme ne peut se
dépouiller
de son humanité. » Par malheur, j’ai oublié la référence. Nicodème.
3
aires) je dirais volontiers : un homme ne peut se
dépouiller
de son humanité ; un chrétien ne peut se dégager de sa “divinité” (au
4
-je donc vu ?… J’ai vu que l’homme ne peut pas se
dépouiller
de son humanité, et je le dis, et je l’atteste ! C’est là mon expérie