1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
1 agérations (Message aux Princes des Prêtres) sont dépourvues du minimum de cynisme et de fantaisie qui enflammerait notre indignat
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
2 pparaît que cette œuvre est une illustration, non dépourvue de complaisance, du « pecca fortiter » de Luther. Pour qui n’aurait p
3 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
3 xte est intéressant dans la mesure même où il est dépourvu de pittoresque, c’est-à-dire, dans ce cas, de traits humains révélate
4 ime en notes, digressions et plaisanteries jamais dépourvues d’ailleurs d’une certaine onction épiscopale, d’une certaine politess
5 tion dont « l’écriture moderne » reste tristement dépourvue malgré ses velléités de fantaisie assez relâchée. En quelques touches
4 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
6 ui n’est sans doute que la méditation d’un esprit dépourvu de prises sensibles. C’est un état d’âme qui caractérise assez bien l
5 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
7 urs même. Et comme ce mouvement pur « doit » être dépourvu d’origine et de but connaissable, on ne peut savoir son sens, mais se