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agérations (Message aux Princes des Prêtres) sont
dépourvues
du minimum de cynisme et de fantaisie qui enflammerait notre indignat
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pparaît que cette œuvre est une illustration, non
dépourvue
de complaisance, du « pecca fortiter » de Luther. Pour qui n’aurait p
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xte est intéressant dans la mesure même où il est
dépourvu
de pittoresque, c’est-à-dire, dans ce cas, de traits humains révélate
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ime en notes, digressions et plaisanteries jamais
dépourvues
d’ailleurs d’une certaine onction épiscopale, d’une certaine politess
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tion dont « l’écriture moderne » reste tristement
dépourvue
malgré ses velléités de fantaisie assez relâchée. En quelques touches
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ui n’est sans doute que la méditation d’un esprit
dépourvu
de prises sensibles. C’est un état d’âme qui caractérise assez bien l
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urs même. Et comme ce mouvement pur « doit » être
dépourvu
d’origine et de but connaissable, on ne peut savoir son sens, mais se