1
ière directe comme en Suisse, ou plus souvent par
députés
interposés ; mais il sait trop rarement ce qu’il fait, dans ce domain
2
beaucoup d’intellectuels et suivi par beaucoup de
députés
— n’hésite pas, lui, à jouer le jeu de « ce qui se passerait si… » Se
3
s grandes décisions n’était jamais atteinte. (Les
députés
votaient sur instructions de leur État. La chancellerie fédérale n’ét
4
e formée de délégués d’États souverains et non de
députés
des peuples : « Lequel de nous n’a dû souvent déplorer la forme actue
5
s les motifs qui peuvent agir sur les autres… Ces
députés
obligés quelquefois de résister aux vérités les mieux démontrées… Les
6
fié de « national » à l’époque. C’est ainsi qu’un
député
(le grand savant A.-P. de Candolle) pouvait s’écrier en 1832 au Parle
7
ait au sacrifice de notre nationalité. » Un autre
député
qualifiait de « chimère » l’idée d’une Union suisse s’opposant aux se
8
A-t-on pris garde qu’il fallait trois jours à un
député
des Grisons pour se rendre à Berne, tandis qu’il ne faut qu’une matin