1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
1 « Assemblée des nations européennes, composée de députés élus à raison d’un député par un million d’habitants » (p. 35). On pr
2 ropéennes, composée de députés élus à raison d’un député par un million d’habitants » (p. 35). On propose aujourd’hui cette él
3 européen. 2. Lors de la Nuit du 4 août 1789, les députés ayant confondu « privilèges » et « libertés » ont renoncé, sans nulle
2 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
4 retagne, l’Écosse élit un nombre déjà imposant de députés autonomistes à la Chambre des communes, cependant que le pays de Gall
3 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
5 évêque représentant Canterbury, des sénateurs et députés de tous les partis, communistes staliniens exceptés. Mais quelques no
4 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Chronique européenne : La préparation des élections européennes (printemps 1984)
6 s’ajoutant à des mouvements qui comptent déjà des députés dans leur parlement national. Ils sont très fortement minoritaires da
7 e bref communiqué suivant : la reine Béatrix aux députés  : il n’est de souveraineté qu’européenne Le jeudi 16 février 1984, Sa
8 la reine Béatrix des Pays-Bas s’est adressée aux députés européens. La reine a insisté sur l’idée que les solutions communauta
9 roissement de vos compétences », a-t-elle dit aux députés , en ajoutant que la Communauté devrait rompre avec le principe des vo
10 once (dans Le Monde du 18 mai) que l’élection des députés au PE « peut donner à la gauche l’occasion de s’appuyer mieux et plus
5 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
11 ts du Conseil, une cinquantaine de ministres, 250 députés aux divers parlements nationaux, des philosophes, des écrivains, des
12 délégués représentant les parlements, non pas de députés élus représentant « les forces vives de toutes nos nations ». Cela ch
13 de « délégués » — puisqu’ils ne sont pas vraiment députés , régulièrement élus et donc dignes du titre — mon siège est fait : il
14 pris connaissance. Il s’agit de mes Lettres aux députés européens et de la réception qui leur fut réservée par l’Assemblée ;
15 rintemps de 1950, j’avais écrit cinq Lettres aux députés européens , et j’avais obtenu de leur éditeur86 qu’il aille lui-même
16 rmer alors du Conseil de l’Europe. Messieurs les députés européens, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et non pour faire sembl
17 ides et la vertu des audacieux […]. Messieurs les députés , ce serait pure folie que d’essayer de sauver ce qui s’en va, au prix
18 leur parti pris de scepticisme […]. Messieurs les députés , vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés, car les vrais
19 tés, vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés , car les vrais sont élus, et vous êtes simplement délégués pour consu
20 e organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présenteront leurs candi
21 nts divisions de l’Armée rouge […]. Messieurs les députés européens, je vous salue d’un vœu qui voudrait résumer celui de tous
22 Je ne sais pas encore de quoi il s’agit, mais des députés m’avertissent en passant « qu’il se fera très probablement » et que «
23 uent entre eux un pacte fédéral. En revanche, des députés réunis ici, il est permis d’attendre un acte de courage, s’ils senten
24 e la salle, les premiers rangs étant réservés aux députés de l’Assemblée dont on attendait qu’ils traversent l’avenue de l’Euro
25 heure prévue, on vit entrer plusieurs dizaines de députés , conduits d’un pas alerte par Paul Reynaud, saluant des deux bras lev
26 ger un Serment, de nouveau, aux termes duquel les députés vigilants jureraient de siéger à Strasbourg aussi longtemps qu’il le
27 mier jour, 21 août, à l’université, L. Benvenuti, député italien (il sera plus tard secrétaire général du CE), dont les interv
28 nghor, puis Mme Rehling (RFA) trois fois, puis le député Giacchero. Enfin, le 25 août, vote sur le patronage : 98 oui sur 98 p