1 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
1 t d’un loisir intense. Or, ils ont à recevoir des députés … Seule, une cour internationale, formée d’hommes désignés par la voie
2 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
2 e de la Suisse (3 octobre 1950)j Messieurs les députés européens, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et nous pour faire semb
3 t, n’a pas fléchi durant un siècle. Messieurs les députés , neuf mois avaient suffi pour fédérer 25 États souverains. Pensez-vou
4 de nommer le daltonisme politique. Messieurs les députés , n’oubliez pas la Suisse : elle existe en dépit de tous les arguments
5 ami Denis de Rougemont écrivit à l’intention des députés réunis à Strasbourg. La session d’été de l’Assemblée européenne est t
3 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
6 l’opinion qui ne parle pas encore. Messieurs les députés , vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés, car les vrais
7 tés, vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés , car les vrais sont élus, et vous êtes simplement délégués pour consu
8 e organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présenteront les candida
9 dace. Donnez-nous la Constitution ! Messieurs les députés , faut-il vous dire encore que je ne suis rien qu’une voix presque dés
10 le, souveraine au-dessus des États. Messieurs les députés européens, je vous salue d’un vœu qui voudrait résumer celui de tous
11 urd’hui le deuxième extrait des cinq Lettres aux députés européens que Denis de Rougemont écrivit à l’occasion de la session