1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 dant du souverain, mais surtout, des centaines de députés à la Chambre et au Sénat, des milliers de maires, et des dizaines de
2 leur total ne se montait qu’à un peu plus de 3000 députés , sénateurs, maires et conseillers municipaux. La réunion n’eut jamais
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
3 dent à cela nos gouvernements ? Rien, pas un seul député ne les ayant jamais interpellés sur ce point. Mensonge universel, aut
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
4 rat suprême ; et ses censeurs… » On a reconnu nos députés et sénateurs, nos conseillers chargés de faire respecter la constitut
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
5 évolution, Livre II, chap. III. 153. H. Fizbin, député (communiste) de Paris, Le Monde, 27 avril 1976. 154. Cf. Robert de C
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
6 ieux informés que la moyenne des ministres et des députés , décide de faire valoir son droit de regard sur ce qui se passe dans
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
7 ont de la région la majorité des électeurs, leurs députés , et la moitié des chroniqueurs qui inventent l’opinion publique tout
8 ses capacités et pour cette raison le fatigue. Au député à la Convention qui demandait la départementalisation de la France « 
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
9 nformation pratiquement accessible au citoyen, au député , et au ministre. L’information sur les problèmes locaux et régionaux
10 es discours — répercutés par ses ministres et les députés de son parti — que « l’Europe va de Gibraltar à l’Oural ». Et sa poli