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une heure nous battions la semelle sur les quais
déserts
de ce port fantomatique, sans ville derrière lui, vaguement américain
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ue, j’imagine, à un poste colonial aux limites du
désert
. Curiosité, comme au début d’un film. La situation est d’ailleurs exc
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re solitude. Et certainement c’était ici, dans ce
désert
, qu’il convenait d’entendre une telle musique et de la laisser se dép
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ansformation. Ainsi de mon île : c’est d’abord un
désert
, et ensuite il m’apparaît que ce désert est habité par des hommes don
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’abord un désert, et ensuite il m’apparaît que ce
désert
est habité par des hommes dont la présence m’est plus concrète qu’ail
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lanc de la colline, déjà dans l’ombre, paraissait
désert
. Nous nous sommes assis sur la terrasse, au pied d’un grand micocouli
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raie vie… Je suis assis dans un grand restaurant
désert
, près d’une baie qui donne sur « les flots », en plein soleil. Un peu
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les hommes sont séparés par de grandes distances
désertes
? C’est un symbole. On peut en déduire facilement les deux formules d