1 is sa foulée, bondissante et posée, est pleine du désir de l’air. Danse-t-il sur une musique que je n’entends pas ? » — Mais

2 que tous menaient en eux-mêmes loyalement. Et ce désir d’arriver à quelque chose de définitif à la fois et d’intelligent, je

3 ès bien cette force — ici, je tape du pied —, ces désirs , ce corps… J’ai un passé à moi, un milieu, des amis, ce tic. Mais enc

4 forces et tant d’autres faiblesses, tant d’autres désirs contradictoires ; au gré du temps, d’un sourire, d’un sommeil, tant d

5 qui voudrait s’élever. Puis enfin la marée de mes désirs . Qu’ils viennent battre ce corps triste, qu’ils l’emportent d’un flot

6 ais je vous aime moins que je ne vous désire. (Ce désir qui me rend fort pour — autre chose…) Ô luxe, ne pas aimer son plaisi

7 et lèchent alternativement, « en vraies bêtes de désir  ». Une intelligence si profonde de la vie animale suppose entre l’hom

8 violemment contractée, par la grâce de l’éternel Désir  ? 6. Il est curieux de noter que de tels passages viennent à l’appu

9 bes nous parviennent au ras du fleuve sombre. Nul désir en nous de comprendre ce lamento. Le ciel est un silence qui s’impose

10 ciliant fort bien leurs intérêts immédiats à leur désir de gagner le ciel, persuadent Louis XIV que la révocation serait une

11 esses avec la même joie, mon cheval fou, mon beau Désir s’ébroue et part sitôt que je vais m’endormir, ah ! galope, caracole,

12 oi-même, me dis-je bientôt. Car je professe qu’un désir vraiment pur parvient toujours à créer son objet, de même qu’atteigna

13 Il y cherche une révélation et n’y trouve que le désir d’une révélation. Peut-on s’hypnotiser avec son propre regard ? Il n’

14 ’entend pas encore gronder les eaux profondes. Le désir de s’hypnotiser l’irrite toujours vaguement. Mais il fuit son propre

15 urs que représente son positivisme esthétique, ce désir de connaissance, puis désigne chez les surréalistes certains sophisme