1 nstant éternel12, — le temps, la succession et le désir . C’est le retard de l’acte et le retrait de Dieu, c’est le doute qui

2 as et qu’il ne croit à aucun acte. Il vit dans le désir et dans la nostalgie, et son regard n’est pas une vision dans un visa

3 te soit puissance et jouissance, il y a ce moi de désir qui veut que l’acte — l’instant ! — soit durée… Mais l’absolu qui vie

4 sorte de compensation tout inconsciente, c’est au désir de prolonger le merveilleux dialogue interrompu que l’auteur du Royau

5 t et le confondant un instant avec l’objet de son désir . On comprendra peut-être mieux maintenant le reproche d’inactualité e

6 rdinairement irritable de mauvaise conscience, de désir , de peur, de préjugés, de revendications secrètes, de jalousie, de sn

7 « les gens », bien sûr. C’est instructif. Mais le désir de s’instruire a des limites. Déjà les relations se stabilisent, les

8 u’il excite ou crée, chez celui qui l’éprouve, le désir de s’en délivrer en l’exprimant. Et c’est ainsi que Chamisso introdui

9 rs le corps a honte de sa pensée, et celle-ci des désirs de son corps — comme d’un embrassement sans amour, ou d’un amour qui

10  plein dans sa peau », partagent les richesses du désir . Et l’homme a retrouvé son ombre. Suite et fin de la fable Pete

11 é au-delà de lui-même par l’attrait puissant d’un désir — reviendra s’asservir le poète… ⁂ C’est une des gloires du romantism

12 établit entre les intérêts sociaux présents et le désir d’aller au-delà, d’aller jusqu’à l’accomplissement final. Car cet acc

13 à tous nos conformismes, et même à nos plus hauts désirs . Il est désespéré, mais c’est à cause de la foi. Et s’il espère, c’es

14 éjà je ne comprends plus pourquoi j’ai eu ce fort désir soudain, dans le métro, de tutoyer mes compagnons de route. Était-ce