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consiste tout simplement à nous faire prendre ses
désirs
pour nos fatalités. Quand le diable prépare un gros coup, il s’arrang
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st pas la technique qui fait l’Histoire, mais nos
désirs
, dont la technique n’est que l’outil. Dans ce livre, je cherche surto
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chnocrates : ils veulent nous faire prendre leurs
désirs
pour nos fatalités. Ils vous diront qu’il est vain de lutter contre l
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qu’il a perdu tout espoir et peut-être même tout
désir
d’y conduire les Européens. Dira-t-on que la Communauté de Bruxelles
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eurs de la psyché individuelle et collective, des
désirs
du cœur, des passions et des volontés de l’esprit. Tous nos poèmes d’
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e l’acte procréateur. La passion amoureuse est le
désir
infini qui prend pour objet ou prétexte un individu fini et mortel. E
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utés germaniques et du rêve celtique, a formé les
désirs
et les besoins des hommes de ce continent, et donc déterminé en profo
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ue ne nous empêche de changer. Ce ne sont que nos
désirs
que l’on appelle ensuite nécessités. am. « Denis de Rougemont, ou
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utés germaniques et du rêve celtique, a formé les
désirs
et les besoins des hommes de ce continent, et donc déterminé en profo
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iné, donc délivré de sa responsabilité) ou par un
désir
de se réaliser, d’assumer sa liberté ? À l’échelle de la société euro
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ssance qui est collective, collectivisante, et le
désir
de liberté-responsabilité, qui est personnel et personnalisant. La pr
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es premières mesures du Menuet, sublime accord du
désir
tendre et de la mort déjà présente. Ici le mythe s’est donné ses moye
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ythe nouveau. « La musique savante manque à notre
désir
» (Rimbaud). Mais l’opéra, impatiemment interrogé par la jeunesse, lu
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ie d’un fédéraliste libertaire (1979)ad « Mes
désirs
construisent et tendent à me faire ce qui me plaît exactement. » Paul
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oyennes entreprises pour nous faire prendre leurs
désirs
pour nos fatalités. Toute la publicité, dont vit la presse d’une part
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soins » provoqués chez les consommateurs avec les
désirs
de profit des producteurs. Elle relève donc principalement du marketi
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réitère : ils voudraient nous faire prendre leurs
désirs
(de profit, de puissance, de mise au pas de la société) pour nos beso
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oissance. Ils voudraient nous faire prendre leurs
désirs
pour nos fatalités : devenons conscients de nos désirs réels, éduquon
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s pour nos fatalités : devenons conscients de nos
désirs
réels, éduquons-les. Cela doit entraîner, dans la jeune génération, d
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essivement ou simultanément — celles de nos vrais
désirs
, ou parfois au contraire, celles de l’Esprit. Considérons d’abord nos
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celles de l’Esprit. Considérons d’abord nos vrais
désirs
, qui ne sont pas toujours ceux que nous pouvons avouer, mais ceux qui
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comme on l’a cru au début de ce siècle, mais nos
désirs
, dont la technique n’est que l’outil. Car dans le monde où nous vivon
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Ce monde humanisé ne change plus qu’au gré de nos
désirs
, donc de nos rêves. Or, comme l’écrit Paul Valéry : Nous ne pouvons