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aient en réalité on sait quel dégoût, et certains
désirs
de grabuge moins avouables, — la sincérité, masque fier et un peu dou
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e je trouve en moi (sentiments, idées, souvenirs,
désirs
, élans, hésitations, obscurités, etc.). Supposons que j’éprouve un dé
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ns, obscurités, etc.). Supposons que j’éprouve un
désir
d’action vive, un élan vers certain but précis. Ou bien j’aurais jus
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i était élan devient recul, et l’évocation de mes
désirs
anciens ne me restitue qu’un dégoût. J’ai cru que je pourrais me rega
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surance d’une continuité entre ses actions et ses
désirs
, un quant-à-soi qui ne gêne aucun geste, mais incline discrètement le
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e, l’affirmation prouve moins une certitude qu’un
désir
de certitude né de quelque doute au fond. » (René Crevel) b. « Parad
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ent attirante ; et je pensais que la force de mon
désir
était telle que vous en éprouviez vaguement la menace. Je dis menace,
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dant ce temps, vous pouviez paraître enfin où mon
désir
surmené vous appelait encore, haletant. Et le temps passait, à la foi
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ette déception insupportable et définitive de mon
désir
. Je ne vous en accuse pas. À peine si je puis encore évoquer votre vi
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la sainteté que hantent les fantômes adorables du
désir
, — quelques hommes y pénètrent, et le goût de s’amuser ne renaîtra pl
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voyage, et qu’on ne manque pas le train bleu d’un
désir
. Elle était donc venue. Il la suivait entre les devantures qui se pas
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t point raison. Mais justement je n’éprouve aucun
désir
d’avoir raison. Je sens aussi bien que vous ce que mes principes peuv
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urire adorable de savoir la dansante liberté d’un
désir
à sa naissance L’étoile qui l’accueille au sommet ravi d’un silence
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nduiraient là où je ne sais pas que j’ai si grand
désir
d’aller… Est-ce ici ? Je regarde autour de moi : des murs sans yeux d
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ntal » ? Des mouvements de mots ? ou seulement un
désir
différent de tout autre désir auparavant connu de le revivre, ce poèm
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s ? ou seulement un désir différent de tout autre
désir
auparavant connu de le revivre, ce poème, de le relire en sa mémoire,