1 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
1 a raison dernière du mensonge : c’est toujours le désir d’innocence utopique. Le mensonge ordinaire n’était que l’omission ou
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
2 ontraire), mais seulement la révolte d’Ève et son désir de se diviniser à sa façon. Si la sexualité pouvait rester pure, c’es
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
3 euse pour l’esprit. Elle ne fut pas tentée par le désir de nuire, mais l’idée de se diviniser, ce qui paraît en somme une exc
4 s utopie — si l’utopie est l’imagination, puis le désir d’un bien que le réel condamne et que le plan divin ne prévoit pas. S
5 e l’autopunition d’une conscience déchirée, et du désir enfin de se détruire. Se détruire pour s’innocenter ! Pour échapper,
4 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
6 oi, et qui est l’espérance. C’est une volonté, un désir éperdu que la vie continue. Je ne sais pas si c’est une espérance chr