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nt donc nos idoles ? Ce sont les créations de nos
désirs
divinisés, ce sont les dieux que nous nous fabriquons avec toutes nos
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s encore dans son établissement, nous trouvons ce
désir
trop humain de parler des choses de la foi dans le langage du bonheur
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ses. L’homme cessa de croire à ses besoins, à ses
désirs
réels, et s’hypnotisa sur l’idée du standing de vie, défini par compa
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tion. Tous les autres calculent, jusque dans leur
désir
de scandaliser le bourgeois. Il n’y a qu’une façon réelle de mettre l