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igneur ? Louis-Claude de Saint-Martin (L’Homme de
désir
.) J’ai parlé d’une mesure « vraie ». Mais quels sont les critères ob
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, qui fascine les masses et les flatte dans leurs
désirs
les plus naïfs, et qui fascine les élites et les flatte dans une part
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l’atteindre — devait résulter une scission, et le
désir
d’une mesure plus vivante. La scission vient de s’opérer, et seule l’
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efs soviétiques réussit à masquer son étendue. Le
désir
d’une mesure plus vivante se manifeste bien souvent à l’insu de ceux
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Or on ne se défend bien qu’en attaquant. Le seul
désir
de durer impose donc à une dictature trois grandes tâches d’ordre cul
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é par le fait même qu’il prend sa source dans les
désirs
de nos cœurs actuels. Or, ce n’est pas une image flatteuse conçue com
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ui obéis en fait. L’acte de foi n’est donc pas un
désir
, une nostalgie confiante, un leurre consolant, un saut dans le vide l
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généreusement se ranger aux côtés du peuple. (Le
désir
de compensation doit les porter naturellement de ce côté.) C’est qu’e
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nguée ne suppose pas, en fin de compte, le secret
désir
de réduire l’humanité à une image bien homogène, qui serait celle de
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alisme85 naît de la séparation de la pensée ou du
désir
et de son acte. C’est pour cela que nous sommes si fiévreux et excess
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le attend avec une angoisse qui ressemble fort au
désir
, les bouleversements politiques qui lui donneront peut-être une foi n
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-à-dire d’une violence spirituelle supérieure aux
désirs
anarchiques de la nature. La vraie révolution n’est pas la prise du p
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que de l’accommoder. On l’assimile par exemple au
désir
de nouveauté, au sens des couturiers bien entendu. (Dans le même sens
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lesse, parce que l’on est vaincu, jusque dans ses
désirs
, par le milieu. On peut être conformiste pour se tenir à l’abri du co
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on l’oublie. Ainsi de tant d’autres pensées, d’un
désir
ou d’un idéal : ils ne s’incarnent qu’à ce prix. Combien d’étreintes,