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ommunautés : commencement de l’histoire des vrais
désirs
de l’homme dans toutes les dimensions de sa réalité — de son devenir
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agrandir littéralement sans fins, au-delà de tout
désir
des habitants actuels et surtout futurs… Tout se passe en dehors d’eu
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s conditions de la vie, non de l’économie ; et du
Désir
de l’homme, non de votre profit. L’homme qui se laisse manipuler syst
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enser, imaginer, sentir. Elle se prête à tous nos
désirs
, d’une manière à peu près parfaite, presque insensible. Elle a renfor
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nt ils n’ont rien à faire, qui ne répondent à nul
désir
en eux, même inconscient. Toutefois cet immense déchet s’élimine au f
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ès vécus, culture, éthique, recettes, craintes et
désirs
, vagues pressentiments et coups de génie. L’ordinateur est extérieur
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des gangs). La technique naît du rêve, donc du
désir
de l’homme La technique naît du rêve, il est vrai. Rêve de voler.
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erne. Elle trahit peut-être, en fin de compte, un
désir
inconscient de substituer, dans le cadre de notre vie pour commencer,
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conscientes souvent ; parmi lesquelles je vois le
désir
de faire faire, de confier le travail humain à des appareillages auto
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est une « idée » commerciale, motivée par le seul
désir
de profit, et non pas une mesure régulatrice et conservatrice de l’es
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saurait être « établi » que dans l’avenir de vos
désirs
, et non des miens, je me borne à observer que dans sept ans, il faudr
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producteurs essaient de nous faire prendre leurs
désirs
pour nos fatalités. Les responsables de la production et de la distr
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agination de la ligne de moindre résistance à ses
désirs
, et la ramener sur les obstacles qu’on pressent à gauche et à droite.
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aux, mais de ses rêves, c’est-à-dire de ses vrais
désirs
. L’avion est né du rêve de voler, symbole sexuel selon Freud, spirit
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es routes campagnardes). Et la bombe atomique, du
désir
impulsif d’anéantir tous ses ennemis en un clin d’œil, comme par la f
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es n’ont jamais traduit autre chose que les vrais
désirs
qui nous hantent, fût-ce à notre insu. Et il est clair que ces désirs
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ent, fût-ce à notre insu. Et il est clair que ces
désirs
immémoriaux sont sans rapport avec les prétendues « nécessités » de l
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la technique soit née du rêve, lequel exprime nos
désirs
, ne veut pas dire qu’elle les satisfait ! Bien au contraire, elle les
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durcies, fixées et comme bloquées, de ceux de nos
désirs
que nous tenons pour avouables devant la société, nous-mêmes, ou Dieu
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nous-mêmes, ou Dieu. Mais il y a tous les autres
désirs
, les plus nombreux, qui se trahissent dans et par la logique de nos a
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sont pas moins la conséquence concrète d’un long
désir
, d’un rêve constant. Il est sincère : il n’a pas voulu cela, il a seu
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rise dont nous souffrons résulte en vérité de nos
désirs
et non de je ne sais quelles fatalités lâchement invoquées, et qu’en
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lui aussi, désormais va dépendre de nous, de nos
désirs
, de leur éducation, de leur maîtrise, et des vraies fins vers lesquel
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s précis que l’avenir seul peut changer selon nos
désirs
. L’histoire serait en revanche la science de « l’impossible », c’est-
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er élément est capital. Sans lui, sans notre vrai
désir
, il n’y aurait plus ni présent ni avenir ; nous vivrions dans le pass
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acles pour mieux nous élancer vers l’objet de nos
désirs
. (Ajoutons que ce sont nos désirs qui déterminent nos besoins. En fai
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l’objet de nos désirs. (Ajoutons que ce sont nos
désirs
qui déterminent nos besoins. En fait, désirs, rêves et besoins : chac
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nos désirs qui déterminent nos besoins. En fait,
désirs
, rêves et besoins : chacun des trois vit des deux autres.) Je pose al
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ait-il l’affaire, en somme ? Le renoncement à nos
désirs
devant le « fait » tuerait tout avenir réel, vivant, changeant, pour
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la plupart d’entre nous quant à leurs véritables
désirs
, rêves ou besoins : au temps venu de leur accomplissement, loin de le
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croissant pessimisme de Wells vers la fin, et du
désir
de parodier le scientisme de ses débuts : britanniques comme lui-même
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jugés. Tel est le succès de la projection de nos
désirs
sur une Nécessité impersonnelle, qu’on peut se demander si les « modè
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que libératrice (« Fais l’avenir à l’image de tes
désirs
! ») ou monitoire (« Si tu fais cela, prends garde ! Voilà ce qui s’e
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a va dans le sens de mes besoins réels, ou de mes
désirs
profonds comme chaleur et lumière ; ou seulement d’une commodité ou d
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acher, et qui ne sont que les alibis de nos vrais
désirs
. Les deux plus grands fléaux du siècle J’en étais là de mes réf
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ante insensibilité. Ce qui n’empêche nullement un
désir
très sincère de faire du bien à la pauvre humanité : c’est même là le
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l’homme moderne : à savoir ses besoins réels, ses
désirs
et ses finalités. Je l’avais écrit dès 1928. Qu’on me permette de sou
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’une offre et d’une demande sans rapport avec ses
désirs
réels, et dont il subit docilement l’abstraite et commerciale nécessi
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st pas la technique qui fait l’histoire, mais nos
désirs
, dont la technique n’est que l’outil. La futurologie devrait prévoir
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ut mesurer les effets. Notre destin dépend de nos
désirs
, de nos finalités, de ce qui est à venir, de ce qui vient à nous, vie
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de la prophétie. Nos destins sont formés par nos
désirs
; par nos besoins réels, demeurent-ils inconscients, ou apparaissent-
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ibre cours à l’invention, comme peut le faire, au
désir
, l’entrevision d’un corps, d’une expression. Pour que l’avenir redevi
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ns fondamentaux, inhérents à notre nature. De nos
désirs
réels dépend qu’elles s’étendent ou non ; que les désastres écologiqu
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, me tienne pour sien. Notre affaire, c’est notre
désir
quand nous l’assumons sans réserve. L’avenir est notre affaire, puisq
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et de lancer que parce qu’ils escomptaient votre
désir
. Si vous n’aviez aucune envie de toutes ces choses, le capitalisme —
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— n’aurait aucun moyen de vous les imposer. Votre
désir
était à l’origine de ce que vous prétendez « subir », et c’est lui qu
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est vous et moi ; c’est l’homme occidental et son
désir
, l’homme soviétique et son espoir, l’homme du tiers-monde et son rêve
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re choix que… » Tout traduit, dans ce langage, le
désir
de se cacher derrière des fatalités, des agents anonymes du destin de
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tion introduite au cœur même de l’homme, dans ses
désirs
et dans ses rêves. Elle est devenue en un demi-siècle un système d’ag
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n rigueur, et s’y borne — donnerait simplement le
désir
de n’avoir pas de communauté du tout. La communauté sera le lieu non
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nt on indiquera quelques linéaments : ceux que le
désir
évoque, ceux que la raison projette, et ceux aussi que l’expérience a
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e peuvent être économiquement viables, et dont le
désir
d’indépendance n’exprime, selon l’un de nos illustres commentateurs p
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au niveau des choix quotidiens, et s’ordonnent au
désir
de liberté, seul unifiant s’il est le but de chacun. Repartir à neuf,
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e-cinq-cents calories nécessaires par jour, et le
désir
morbide de posséder non seulement des centrales nucléaires mais beauc
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es idées mais potentielle dans nos besoins et nos
désirs
. De même que la personne qui se fait tous les jours par ses actes imp
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vertu communautaire en soi. Quand se manifeste le
désir
d’autonomie d’une communauté régionale, le problème n’est donc pas du
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nos élans, de notre tonus vital, et de nos vrais
désirs
actuels. Nous ne disposons pas de cette connaissance, mais le seul fa
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nsée créatrice est du wishful thinking, prend nos
désirs
pour des réalités, jusqu’à ce que ces désirs créent ces réalités et l
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nos désirs pour des réalités, jusqu’à ce que ces
désirs
créent ces réalités et leur donnent vie dans notre vie, les réalisent
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t. Désirer le meilleur en nous et par la force du
désir
le devenir, c’est anticiper notre avenir, mieux : c’est le faire. L