1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
1 projets pour des impératifs du Progrès, et leurs désirs pour nos fatalités. Pour tous les autres, il faut bien constater que
2 ue la projection de nos besoins, ou plutôt de nos désirs , vrais ou faux, provoqués par la publicité, la mode et l’imitation du
3 tion du voisin. Tout se ramène aux options et aux désirs de l’homme. D’où il suit que changer nos désirs — changer nos cœurs c
4 x désirs de l’homme. D’où il suit que changer nos désirs — changer nos cœurs comme on disait jadis — serait la seule solution
5 ue à une dimension aboutit à un accroissement des désirs , non du bonheur. Indira Gandhi. De ce qui précède résulte à l’évid
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
6 lus — qu’ils essaient de nous faire prendre leurs désirs pour nos fatalités ! Il y a ensuite la publicité pour le « tout élect
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
7 n croissante de l’homme, de ses valeurs et de ses désirs aux ambitions, baptisées nécessités ou « raisons d’État », de l’appar
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’Europe et le tiers-monde
8 hines et des techniques, les voyages et la TV, un désir généralisé d’imiter les modes de vie occidentaux sans distinguer mieu
9 n égard. D’où la convergence remarquable entre le désir de développement industriel affirmé comme besoin fondamental et prior
10 ple par les dirigeants des nouveaux États ; et le désir proclamé par les États occidentaux d’aider ce développement par tous
5 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Annexes
11 -même, qui donne à celle-ci sa personnalité et le désir d’exister et d’être considérée comme une unité. » En aucun cas, le dé