1 serions-nous à ce moment privilégiés ? À cause du développement des sciences et des techniques. Jusqu’au milieu du xxe siècle, quel

2 st très heureux, car cela constitue un frein à ce développement , à l’infini, du niveau de vie. Je pense que maintenant se dessine une

3 ’on peut voir dans la jeunesse américaine pour le développement d’un niveau de vie où toutes les valeurs intellectuelles, spirituelle

4  ! Je ne suis pas du tout pour que l’on freine le développement de la société ; je suis au contraire pour qu’on le pousse, beaucoup p

5 es faire marcher à l’électricité. Ce serait là un développement technique supérieur à celui des États-Unis et qui changerait tout dan

6 ience qui n’est possible qu’aujourd’hui, grâce au développement de la technique. Par exemple, sans ordinateurs, je défie qui que ce s

7 rôle de la femme a été considérable dans tout le développement de la culture, surtout en France, en Angleterre, en Espagne, moins en

8 iment. On n’avait donc pas besoin de politique de développement car on pensait que le progrès était infini, que tout allait s’arrange

9 t pour des hommes qui ont une vision politique du développement de l’humanité. Jean Monnet, par exemple. Le fédéralisme pourrait-il r

10 de l’hitlérisme) et toute prévision quant à leurs développements , à court terme — prévision qui eût démontré l’impossibilité d’un long

11 nibles. Subitement, à partir de 1960, et grâce au développement de la TV, tout change. La cité, dont Aristote pensait que l’étendue d