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ues, de leurs goûts et de leurs censures, dans le
développement
de nos arts. L’Œuvre du xxe siècle pose bien d’autres problèmes. Le
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. Disposition peu favorable, il faut l’avouer, au
développement
d’une grande passion. Enfin, le citoyen du monde soviétique se doit d
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« Toute mon œuvre a été en même temps mon propre
développement
; c’est en elle que j’ai pris conscience de mon idée, de ma tâche. »
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et des magies, nées de la peur, qu’il a permis le
développement
de la Science, recherche « impitoyable » de la vérité. Car la vérité,
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rticipe. Comment pourrait-elle menacer « le libre
développement
de sa personnalité » ? Certes, elle l’obligera à peiner très durement
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rançon qu’elle aurait à payer fatalement pour le
développement
anarchique du machinisme : l’appât de bénéfices énormes et rapides, e
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bre. Nous avons assisté, depuis cinquante ans, au
développement
d’une attitude qui rappelle le manichéisme, encore que les valeurs se
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au nom de l’URSS. Ils croyaient servir « le libre
développement
de tous » et justifiaient les camps de travail forcé, ou niaient leur
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e de ce mot. Disons, pour couper court à de longs
développements
, que ceux-là seuls qui se font de la poésie une idée finalement plus
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étien » selon la conception kierkegaardienne ? Le
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qui suit rétablit l’exigence existentielle. Le sujet du « Tu dois aim
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utélaires invisibles et omniprésents, propices au
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de l’âme adolescente, et dont les signes annoncent et expliquent à l’
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mythes de Faust et de Don Juan. (Cf. notamment le
développement
sur Marguerite, dans Ou bien… ou bien, « Tracés d’ombre »). Dans l’ou
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Aux stades encore primitifs de la technique et du
développement
industriel, on pouvait croire que les décrets du centre, géométriques