1 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
1 tions, se prêtaient peu d’ailleurs à de rigoureux développements . C’est que la politique, redisons-le, n’est pas un art : toute forme
2 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
2 istique ; des considérations, par exemple, sur le développement économique des siècles passés, quand ce ne sont pas des statistiques
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
3 tuel, la Réforme, avait été un facteur décisif du développement capitaliste ; 2° La primauté de l’économique est au fond une croyance
4 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
4 ls, et couvrir ainsi la naissance et les premiers développements d’une intolérance « de gauche », d’un goût morbide de « l’autorité »
5 ifestes font preuve favorise de toute évidence le développement des confusions les plus propres à la naissance du fascisme français.
5 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
6 eront de plus en plus visiblement à mesure que le développement de la crise confirmera leurs prévisions. Mais il ne suffit pas qu’un
7 corporations destinées à faire éclater, par leur développement normal, les cadres de l’ordre ancien. Une doctrine rigoureuse, qui s’