1 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
1 tions, se prêtaient peu d’ailleurs à de rigoureux développements . C’est que la politique, redisons-le, n’est pas un art : toute forme
2 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
2 istique ; des considérations, par exemple, sur le développement économique des siècles passés, quand ce ne sont pas des statistiques
3 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
3 tuel, la Réforme, avait été un facteur décisif du développement capitaliste ; 2° La primauté de l’économique est au fond une croyance
4 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
4 ls, et couvrir ainsi la naissance et les premiers développements d’une intolérance « de gauche », d’un goût morbide de « l’autorité »
5 ifestes font preuve favorise de toute évidence le développement des confusions les plus propres à la naissance du fascisme français.
5 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
6 eront de plus en plus visiblement à mesure que le développement de la crise confirmera leurs prévisions. Mais il ne suffit pas qu’un
6 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
7 nt pour avoir favorisé très sérieusement le libre développement des vocations chez leurs élèves… Mais je m’en voudrais d’insister sur
8 , et que, d’autre part, il a toujours favorisé le développement de la personne et donc la formation d’élites civiques actives, on com
7 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
9 tics pour les rendre après coup plus conformes au développement , désormais historique, des maladies que j’étudiais. Ce n’est point qu