1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
1 à l’Histoire comme devenir tout-puissant soit le développement normal et la suite obligée de l’attitude chrétienne devant le temps ?
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
2 encement de l’entreprise, qu’elle dût conduire au développement et à la gloire de la religion chrétienne », comme il l’écrit dans son
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
3 et des magies, nées de la peur, qu’il a permis le développement de la Science, recherche « impitoyable » de la vérité. Car la vérité,
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
4 rticipe. Comment pourrait-elle menacer « le libre développement de sa personnalité » ? Certes, elle l’oblige à peiner très durement d
5 rançon qu’elle aurait à payer fatalement pour le développement anarchique du machinisme : l’appât de bénéfices énormes et rapides, e
6 bre. Nous avons assisté, depuis cinquante ans, au développement d’une attitude qui rappelle le manichéisme, encore que les valeurs se
7 Chaplin, lequel a contribué plus que nul autre au développement du cinéma, triomphe technique. 68. L’examen des circonstances qui o
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
8 s un risque véritable, s’il met un point final au développement humain et ne permet plus de choix à la personne. Dans ce sens, le vra
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
9 e. Sécession du prolétariat Elle résulte du développement anarchique de l’industrie, dans un milieu de civilisation qui multipl
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
10 peut faire dépérir dans d’autres civilisations le développement normal de leurs sciences spirituelles ou physio-psychologiques. Et ce