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ccidentaux. L’ayatollah David a renversé Goliath,
empereur
et chef des armées, « Lumière du monde aryen », et signataire de cont
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et l’imam fidèle au Coran, quand l’un protège un
empereur
coupable et quand l’autre menace de tuer des innocents dans une parti
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ucoup d’uranium dans son sol. (D’où la chute de l’
empereur
, sitôt qu’il a traité avec le « fou d’Allah » qu’est Kadhafi.) Somoza
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puis à Bruxelles, où il apprend l’abdication de l’
empereur
le 9 avril. Et tout d’un coup, le soir du 15 avril, il note, rapide e
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vers Nantes, mais cette ville vient de passer à l’
empereur
. Retour à Paris le 28 mars, à la faveur d’une amnistie. Journées de t
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’être arrêté, Constant reçoit une invitation de l’
empereur
— et s’y rend sur l’heure. Dès lors, tout va très vite. Citons le jou
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politique en Europe. 14 avril. Entrevue avec l’
empereur
. Longue conversation. C’est un homme étonnant. Demain je lui porte un
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t d’un coup, malgré lui, tient un rôle décisif. L’
empereur
, notera-t-il plus tard dans son Mémoire sur les Cent-Jours, n’essaya
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ois, elle exigera la liberté. Elle en aura. Ni l’
empereur
ni Constant n’ont changé. Nul n’est dupe, nul ne cherche à duper l’au
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parle à la fin des Cent-Jours : 21 juin 1815. L’
empereur
m’a fait demander. Il est toujours calme et spirituel. Il abdiquera d
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nd il l’établit. Dès le lendemain du départ de l’
empereur
pour Rochefort puis pour Sainte-Hélène, Constant entre en opposition
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accepte deux semaines plus tard de rédiger pour l’
empereur
une constitution libérale, voilà ce que ses contemporains ont décidé
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e en l’occurrence, ce n’est pas Constant, c’est l’
empereur
. De Golfe-Juan à Lyon, jusqu’à Paris, Napoléon a été accueilli aux cr
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is, Napoléon a été accueilli aux cris de « Vive l’
empereur
! » mais aussi de « Vive la liberté ! ». Il sait qu’il doit compter a
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n, philosophique et politique. C’est un appel à l’
empereur
Henri VII, qui vient se faire sacrer à Rome, pour restaurer l’unité d
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mps qu’il s’est fait proclamer par ses légistes «
empereur
en son royaume, … ne reconnaissant aucun supérieur sur ses terres »,
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e monde spirituel, non dans le monde des princes,
empereurs
ou présidents de la République sur la terre : aucun rapport. La puiss
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délité en partie double : les uns envers le grand
empereur
français et sa descendance, les autres envers la monarchie prussienne
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erlin, d’un officier neuchâtelois au service de l’
empereur
et d’une mère d’origine genevoise mais élevée à Londres, Guy de Pourt