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n, philosophique et politique. C’est un appel à l’
empereur
Henri VII, qui vient se faire sacrer à Rome, pour restaurer l’unité d
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mps qu’il s’est fait proclamer par ses légistes «
empereur
en son royaume… ne reconnaissant aucun supérieur sur ses terres », c’
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es politiques ou économiques, elles relèvent de l’
empereur
(parfois du roi) et sont donc « immédiates à l’empire », lequel devie
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une prince napolitain qui est le petit-neveu de l’
empereur
Frédéric Barberousse ; Bonaventure, qui vient de Pise ; Siger de Brab
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nction d’un monopole d’État43. Le 21 mars 1810, l’
empereur
s’adresse au Conseil d’État : Si mes espérances se réalisent, je veu
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cs de Bourgogne et de Bavière ; mais le pape et l’
empereur
en seront exclus. Bien qu’il ait échoué devant l’indifférence de Loui
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À Bologne, en 1158, une constitution donnée par l’
empereur
Frédéric Barberousse institue pour les élèves non italiens quatre nat
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e. La lutte entre partisans du pape latin ou de l’
empereur
germanique (les guelfes et les gibelins) remplira les trois siècles s
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le Bel vont proclamer que le roi de France est «
empereur
en son royaume » et qu’« il ne reconnaît aucun supérieur sur ses terr
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sur ses terres » : ce rejet de la suprématie de l’
empereur
et de celle du pape, symboles de la christianitas — qui est alors le
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donné d’abord à la France républicaine, et dont l’
empereur
Napoléon Ier se servit pour désigner après ses victoires la nation fr
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ne tous les pouvoirs, — et cela fait, il sera élu
empereur
, en 1804, sous le nom de Napoléon Ier. II. Dialectique des concept
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doctrines politiques de l’empire et le culte de l’
empereur
exerçaient une influence décisive sur toute la culture et l’idéologie
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rature et l’art, ne s’appliquait qu’à l’État, à l’
empereur
et à l’Église. Le parallélisme est frappant avec des situations que n