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ape, les « Waldstätten » cherchèrent l’appui de l’
empereur
. Frédéric II comprit qu’il était de son intérêt de les soutenir. Le c
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’Empire, le Nord et le Sud. Il était vital pour l’
empereur
de garder libre ce passage, et de le protéger contre les grands vassa
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it subversif, de mauvaise tête. C’est ainsi que l’
empereur
Maximilien d’Autriche qualifiait de « Schwyzer » tous ses sujets rebe
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envahirent la Souabe et battirent les armées de l’
empereur
. « Svizzeri, armatissimi et liberissimi ! » s’écriait avec une admira
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r. Toute la population le soutenait, et lorsque l’
empereur
, inquiet des progrès de la Réforme, voulut attaquer Zurich avec l’aid
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Suisses déclarassent encore la guerre au nom de l’
empereur
, ils avaient cessé de se faire représenter aux Diètes d’Empire et de
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ge, du royaume de Naples et des Deux-Siciles, des
empereurs
d’Autriche. C’est à la période du service étranger que se rapporte le
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tés. 1. Les Habsbourg, comme on sait, devinrent
empereurs
. Ils s’efforcèrent de réduire les Waldstätten en les entourant d’un c