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se. Vingt-cinq-mille travailleurs français y sont
employés
. Ils paient leurs impôts en Suisse et cela crée des problèmes pour le
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ème des frontaliers, c’est-à-dire des ouvriers et
employés
résidant dans l’Ain et la Haute-Savoie, mais travaillant à Genève, qu
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de salariés de plus que l’industrie ». Quand les
employés
du tertiaire seront à leur tour « libérés » par la bureautique, que f