1 ue, je ne me sentais pas la bonne conscience de l’ employé qui a fait sa journée et qui pense maintenant à autre chose. Une sort

2 lectuel. Il atteint les travailleurs manuels, les employés , ingénieurs, médecins, etc., qui ne peuvent plus exercer leur profess

3 nt indéterminé, et dépendant du seul caprice d’un employé que je ne connaîtrais pas. 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. O

4 rancs. Autrement, vous savez ce qui se passe, les employés là-bas, au ministère, ils mettent l’argent dans leur poche… — Tous le

5 puis la guerre dans les campagnes : nomadisme des employés et ouvriers, impossibilité de « suivre » un effort bien localisé, de

6 urs, médecins, commerçants, industriels, avocats, employés , rentiers plus ou moins ruinés : il me faut bien reconnaître qu’ils s

7 eaux. (Le gouverneur de la province est un ancien employé de postes, ventripotent et qu’on juge très vulgaire.) Partout la même

8 ien… — Est-ce un ouvrage politique ? me demande l’ employé . — Comment voulez-vous que je le sache ? Donnez-le-moi d’abord, s’il

9 eois » : « Le peuple est favorable au régime. Les employés et les ouvriers y trouvent mille occasions de s’élever. Voyez notre G

10 asions de s’élever. Voyez notre Gauleiter59  : un employé de postes ! Et voyez nos domestiques : ils ne nous respectent plus. »

11 ver le phénomène suivant : au jour fixé, tous les employés de la légation nazie se sont rendus à leur bureau porteurs de petites

12 ets en circulation l’objet que vous voyez. Chaque employé doit le toucher et signer la feuille de contrôle. Et sitôt la chose f

13 s ressemblant. Tout est intact. La brusquerie des employés intacte, quand on demande un petit renseignement et qu’on les voit s’

14 usager perplexe ou anxieux. La bonhomie des mêmes employés intacte, une fois qu’on leur a laissé le temps de revenir à leur natu