1 te pas plus que moi. Et vous dites : « Ou bien un enfant … » Nous voici dans le temps de l’Avent, dans les nuits les plus longu

2 llusion. Elle les conduisait dans la nuit vers un Enfant qui a sauvé le monde. i. « L’Europe est encore un espoir », Gazette

3 iser l’enseignement. Quel sens peut avoir pour un enfant l’histoire suisse, s’il ignore celle de sa région ? À Couvet, j’ai to

4 ières. Idem pour l’écologie, où la perception des enfants , déjà très jeunes, est immédiate : les frontières n’ont rien à voir a

5 est trop rousseauiste : il suppose chez tous les enfants une sorte de besoin inné de s’instruire et de s’entraider. Pour lui,

6 rrompt. Or je crains que, livrés à eux-mêmes, les enfants ne tombent en proie à toutes les modes successives diffusées par les

7 e, que vont faire les hommes et les femmes et les enfants qui habitent ici ? « Lavaux appartient à tout le monde », à tous ceux