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ique. On voit naître et grandir un fils, puis les
enfants
d’une troisième génération. (C’est un des grands pouvoirs des romanci
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me « au mince visage de belette » qui enterre son
enfant
dans la neige avec une sorte d’innocence animale. La superstition rôd
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lents et leurs passions étranges. Aussi, quelques
enfants
qui semblent incarner toute la poésie des contes scandinaves, une mer