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s une partie de la Romandie, lorsqu’il meurt sans
enfants
en 1218. Jamais la Suisse n’avait été plus proche de s’unifier sous u
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la scène du Grütli, pour l’édification future des
enfants
des écoles. On sait aujourd’hui que les chefs des communautés foresti
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ue les premières étaient vides. C’était vrai, les
enfants
voient juste. Ces gens traversent le pays comme s’il n’existait pas,
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ur couvrir la frontière… Dans nos cantons, chaque
enfant
naît soldat ! ») et des cours de philosophie dont l’ennui seul est re
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que ce guerrier fut bon époux, et bon père de six
enfants
; que cet artiste, l’un des plus grands de son pays, fut aussi le plu
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ine : « Ici est né Augusto Giacometti. » Un petit
enfant
, attaché à une longue corde, comme une chèvre, jouait dans un pré. «
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s, toujours les mêmes à chaque visite guidée. Les
enfants
des écoles n’aiment pas ces bons élèves. Ils seraient sans doute fasc
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grâce à la fréquentation scolaire qui introduit l’
enfant
dans un nouveau milieu où il fait l’apprentissage de la coopération.
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lieu privilégié où s’accomplit la promotion de l’
enfant
à cette liberté qui fait de lui un citoyen conscient et organisé.111
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de la méthode : « La machine scolaire dévore des
enfants
tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve » ; le lavage de cerveau
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r : « Nous aurions cherché un moyen d’abrutir nos
enfants
que nous n’aurions pas pu trouver quelque chose qui répondît mieux à
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confiance excessive dans la bonté naturelle de l’
enfant
, et de négliger la formation intellectuelle ou la discipline dans le
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re qu’ils visaient au contraire à éveiller chez l’
enfant
et l’élève le sens de la responsabilité personnelle et sociale. Quels
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œuvre de secours, d’adopter en temps de guerre un
enfant
allemand, un enfant français, et de devenir ainsi, par-dessus le marc
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adopter en temps de guerre un enfant allemand, un
enfant
français, et de devenir ainsi, par-dessus le marché, un bienfaiteur d
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siècle en Suisse, Félix Bovet, écrivait : « Cet
enfant
m’inquiète, il est trop avancé, il se développe trop… Il faudra le me
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s décisions de Bonaparte — « Point de chaînes aux
enfants
de Guillaume Tell ! » — enfin les manuels scolaires jusqu’à nos jours