1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 ndeur et notre espoir. La Suisse n’a pas de pires ennemis . Ce n’est pas une armée motorisée qui nous sauvera de l’attaque de no
2 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
2 st temps, des déviations qui feraient le jeu de l’ ennemi . Connaître la doctrine de l’homme fasciste, c’est définir du même cou
3 rsonnalistes. Et surtout, n’oublions jamais que l’ ennemi qui se dresse devant nous, c’est en nous tout d’abord que nous devons
4 rieure. Le chrétien est celui qui n’a pas d’autre ennemi à craindre que l’ennemi qu’il porte en lui-même. Car un ennemi visibl
5 celui qui n’a pas d’autre ennemi à craindre que l’ ennemi qu’il porte en lui-même. Car un ennemi visible et extérieur, ce n’est
6 ndre que l’ennemi qu’il porte en lui-même. Car un ennemi visible et extérieur, ce n’est jamais que l’incarnation d’une possibi
3 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
7 ende quelque chose de valable. Or, quels sont les ennemis intérieurs de notre liberté ? Je n’en désignerai ici que deux, qui vo
4 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
8 e même — avec moins de franchise — que celui de l’ ennemi fasciste contre lequel ils excitaient les masses. Mea culpa des Suiss