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« L’État-nation, voilà l’
ennemi
» (1er juillet 1975)q Le club de Rome a prévu le désastre, mais n’
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olescence calculée. q. « L’État-nation, voilà l’
ennemi
», L’Express, Paris, décembre 1974, p. 57-58. Présenté par cette note
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a Suisse ne saurait tenir balance égale entre les
ennemis
de l’Europe et l’Europe même, dont elle fait partie. Ce serait vouloi
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l’amour divin, mais vilipendé d’autre part comme
ennemi
de la vie spirituelle, toléré finalement, mais dans les seules limite
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oureux d’Aricie « qui est la fille et la sœur des
ennemis
mortels de son père ». Aricie sera donc pour Hippolyte l’amour que le
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nd renchérir sur elles. Pour lui, « le pire est l’
ennemi
du mal », comme l’a si bien vu Jean Paulhan. Par une sorte de dépit a
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ou par immigration, mais sujets catholiques de l’
ennemi
séculaire, le duc de Savoie. Dès ce moment, et jusqu’aux débuts du xi
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onsacrés, on considère comme grave et scrupuleux,
ennemi
des extrêmes, introspectif, incapable de toute rhétorique, voire de t
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nt trop à ceux du peuple Vous êtes un farouche
ennemi
de l’État-nation ? J’ai toujours été antinationaliste et antiétatiste
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tout seul. Alice au pays des merveilles Les
ennemis
de l’écologie, des régions, de l’autogestion sont autant à droite qu’