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ant fortement par la main. Nous sommes entourés d’
ennemis
de toutes parts et il nous faut marcher presque constamment sous le f
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cision librement consentie, afin de combattre nos
ennemis
et de ne pas tomber dans le marais voisin, dont les hôtes n’ont cessé
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voir contre l’opposition secrète, informulée, des
ennemis
du régime, et contre l’inertie des citoyens et citoyennes qui eussent
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irréductible, essentielle. L’État-nation, voilà l’
ennemi
; et peu nous importe que ce soit un pseudo-fascisme de droite ou un
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les spartakistes et les séparatistes — également
ennemis
de l’État — avant de céder la place aux bourgeois, qui à leur tour… E
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deviendront les 200 familles du racisme57, les «
ennemis
de la nation ». 2° Lutte contre l’étranger. — Là encore, Hitler va tr
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des purs, qui s’abat sans scrupule humain sur les
ennemis
de la nation : toujours, il faut « faire vite », déjouer un complot à
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nt que des victoires gouvernementales ; seuls les
ennemis
de la démocratie oseraient remarquer que ces victoires successives se
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’un esclavage. La liberté réelle n’a pas de pires
ennemis
que les libéraux ; sinon en intention, du moins en fait. Les penseurs