1 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
1 J’entends bien : sa mobilité perpétuelle. Ainsi l’ ennemi ne saura pas où viser. Nous voici condamnés au nomadisme. Mais après
2 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
2 nécessaires à la conquête d’une île ou des bases ennemies , il faudra plusieurs heures, sinon plusieurs jours. Or au moment où c
3 nquérir sera déjà réduite en fine poussière, si l’ ennemi n’est pas stupide. Supposez encore que la Russie attaque l’Amérique p
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
4 , qui est l’état de guerre en permanence. Ainsi l’ ennemi des nations, c’est l’État ; et leur sauvegarde serait le gouvernement
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
5 e pour demain. Hitler battu, nous n’aurons plus d’ Ennemi . Une dimension de la vie nous fera défaut. Imaginons les conséquences
6 mes nouveaux pour remplacer, sur la scène vide, l’ Ennemi déchu ? » Au lieu de la Fête, nous avons eu le Drame. Ou plutôt nous