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J’entends bien : sa mobilité perpétuelle. Ainsi l’
ennemi
ne saura pas où viser. Nous voici condamnés au nomadisme. Mais après
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nécessaires à la conquête d’une île ou des bases
ennemies
, il faudra plusieurs heures, sinon plusieurs jours. Or au moment où c
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nquérir sera déjà réduite en fine poussière, si l’
ennemi
n’est pas stupide. Supposez encore que la Russie attaque l’Amérique p
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, qui est l’état de guerre en permanence. Ainsi l’
ennemi
des nations, c’est l’État ; et leur sauvegarde serait le gouvernement
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e pour demain. Hitler battu, nous n’aurons plus d’
Ennemi
. Une dimension de la vie nous fera défaut. Imaginons les conséquences
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mes nouveaux pour remplacer, sur la scène vide, l’
Ennemi
déchu ? » Au lieu de la Fête, nous avons eu le Drame. Ou plutôt nous