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ers 365, et demeuré païen) désigne en effet les «
ennemis
» de l’Europe : le maure Gildon et le barbare Alaric : … Duo namque
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du nationalisme, qui ne manque pas de lucidité, l’
ennemi
juré c’est l’universalisme des chrétiens. Mais ceci n’est qu’une pare
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u Palais) virent au petit jour les tentes du camp
ennemi
: diluculo prospiciunt Europenses Arabum temtoria ordinata et tabern
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obe dans un même destin de défense contre un même
ennemi
les peuples vivant au nord des Pyrénées et des Alpes. Il se peut que
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n fixera à quel moment il conviendra d’attaquer l’
ennemi
, avec quelles forces de terre et de mer il faudra faire la guerre, qu
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croisés, il dit : Donne-nous la victoire sur tes
ennemis
pour que, ayant enfin recouvré la Grèce, nous puissions chanter tes l
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à les unir, que du moins ils soient unis contre l’
ennemi
commun…85 Malheureusement, c’est le contraire qui arrive. LIX. — Ains
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peuples, pour ce qu’ils sont par manière de dire
ennemis
naturels, et ont divisé presque tout le monde en deux parties, à caus
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eurs semblables, pour s’en prévaloir contre leurs
ennemis
, au cas qu’ils ne voulussent se soubsmettre au jugement d’un tiers. O
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e hostilité que contre celui qui aura été déclaré
ennemi
de la Société européenne : mais s’il y a quelque sujet de se plaindre
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même temps ils se fissent craindre davantage des
ennemis
de la foi… Et parce que manifestement, dans le monde chrétien, la maj
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x-ci, au nom du Christ, ont déclaré la guerre aux
ennemis
du nom chrétien. On reconnaît ici les thèses fondamentales de la Mon
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t (le) roy des Abyssins sont chrétiens tous deux,
ennemis
et frontiers du Turc, quoique bien éloignés l’un de l’autre. Mais le
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rs, qu’elles respectent les ambassadeurs de leurs
ennemis
, qu’elles conviennent ensemble de la prééminence et de quelques droit
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et leurs colonies. Les peuples sauvages sont les
ennemis
communs de toutes les sociétés civilisées ; nous allons examiner si l
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nt l’étendue de leur danger et le nombre de leurs
ennemis
. Au-delà du Danube et du Rhin, les pays septentrionaux de l’Europe ét
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et de l’Italie. Les Huns, qui fuyaient devant un
ennemi
victorieux, dirigèrent leur marche vers l’Occident, et le torrent s’a
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a carte du monde, peut nous présenter de nouveaux
ennemis
et des dangers imprévus. Les Arabes ou Sarrasins, qui étendirent leur
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t-elle besoin d’alliés, lorsqu’elle n’aura plus d’
ennemis
? Il n’est pas loin de nous peut-être, ce moment où la liberté, régna
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ui se disaient partisans du fédéralisme — et leur
ennemi
Robespierre fut le premier à dire le mot, si l’on en croit le diction
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situdes d’une guerre sanglante touchent nos seuls
ennemis
! Et que les nations, s’unissant et se libérant, soient gouvernées se
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ce que les premiers ont déjà mangé maintes tribus
ennemies
, tandis que les seconds savent tirer un meilleur parti des vaincus ;
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rre »147. Mais de fait, l’Angleterre va devenir l’
ennemie
du continent conquis par les idées de la Révolution ; et la politique
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r combattre, avec son frère en la foi français, l’
ennemi
commun. Le sujet français tire l’épée contre une patrie qui le maltra
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foule de conditions. Pour eux l’étranger était un
ennemi
ou un barbare. On peut au contraire considérer les peuples de la nouv
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gion ». Bien plus, à l’en croire : Le plus grand
ennemi
de l’Europe, qu’il importe d’étouffer par tous les moyens qui ne sont
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cœur humain, et lui ne voit dans la Réforme que l’
ennemi
juré de l’unité. Ne serait-ce pas qu’il se fait de l’unité la même id
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n commune des mœurs opposés ; et, rapprochant des
ennemis
, elle en a fait des nations dans lesquelles les hommes énergiques for
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s l’affection des uns pour les autres et contre l’
ennemi
du dehors… Qu’elle soit une en ce que ma malle puisse circuler à trav
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ntrainte périmée. Le savant est instinctivement l’
ennemi
du clergé dans sa forme ancienne ; la classe intellectuelle et la cla
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d’une confédération d’États. Et quels seront les
ennemis
de cet Empire germano-catholique enfin relevé ? Non pas la Russie, «
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; même dans la capitale de l’empire turc un noble
ennemi
honora par un service funèbre public la mémoire du grand monarque qui
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s le cercle étroit que lui assignaient les tribus
ennemies
. Ce serait faux et aller à fin contraire que de rechercher à laquelle
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peuples différents par leur origine, souvent même
ennemis
héréditaires, un aspect uniforme faisant croire à une descendance com
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lège ou de l’égoïsme des intérêts. Et quant à nos
ennemis
, ils sont à la merci de notre travail. Ils ne sont forts que par nos
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s ambiguïtés que nous retrouverons chez ses amis,
ennemis
et successeurs russes sont en germe dans ces Lettres : « Il nie l’his
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ions-nous pas, au contraire, mettre à la raison l’
ennemi
de l’Europe et de son ordre par le même « fer et feu » que le prince
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me des masses actuelles. Ce ne sont pas les pires
ennemis
de Rome qui ont sauvé l’Europe, mais bien les ennemis les plus opiniâ
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mis de Rome qui ont sauvé l’Europe, mais bien les
ennemis
les plus opiniâtres de l’Espagne : les Hollandais, l’Angleterre (la p
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combats du passé, le désir constant d’anéantir l’
ennemi
, nous ne pourrions, nous autres tard-venus de l’humanité, tenir pour
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r exploiter par le fanatisme sans vergogne de ses
ennemis
. L’humanisme européen est-il devenu incapable d’une résurrection qui
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é nouvelle de chrétien comme Rome conférait à ses
ennemis
de la veille la cité romaine. Il s’étend peu à peu dans le lit de la
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aient. Les Romains méprisaient les étrangers, les
ennemis
, les vaincus, leurs sujets, leurs esclaves ; aussi n’ont-ils eu ni ép
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n motif légitime de mépris. Ils regardaient leurs
ennemis
vaincus comme étant en horreur à Dieu même et condamnés à expier des
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sort, ne jamais admirer la force, ne pas haïr les
ennemis
et ne pas mépriser les malheureux.284 Ne jamais admirer la force…
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es, ce jeu peut continuer aussi longtemps que les
ennemis
de l’Europe lui en laisseront le loisir, pas davantage. 324. Texte