1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 ers 365, et demeuré païen) désigne en effet les «  ennemis  » de l’Europe : le maure Gildon et le barbare Alaric : … Duo namque
2 du nationalisme, qui ne manque pas de lucidité, l’ ennemi juré c’est l’universalisme des chrétiens. Mais ceci n’est qu’une pare
3 u Palais) virent au petit jour les tentes du camp ennemi  : diluculo prospiciunt Europenses Arabum temtoria ordinata et tabern
4 obe dans un même destin de défense contre un même ennemi les peuples vivant au nord des Pyrénées et des Alpes. Il se peut que
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
5 n fixera à quel moment il conviendra d’attaquer l’ ennemi , avec quelles forces de terre et de mer il faudra faire la guerre, qu
6 croisés, il dit : Donne-nous la victoire sur tes ennemis pour que, ayant enfin recouvré la Grèce, nous puissions chanter tes l
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
7 à les unir, que du moins ils soient unis contre l’ ennemi commun…85 Malheureusement, c’est le contraire qui arrive. LIX. — Ains
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
8 peuples, pour ce qu’ils sont par manière de dire ennemis naturels, et ont divisé presque tout le monde en deux parties, à caus
9 eurs semblables, pour s’en prévaloir contre leurs ennemis , au cas qu’ils ne voulussent se soubsmettre au jugement d’un tiers. O
10 e hostilité que contre celui qui aura été déclaré ennemi de la Société européenne : mais s’il y a quelque sujet de se plaindre
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
11 même temps ils se fissent craindre davantage des ennemis de la foi… Et parce que manifestement, dans le monde chrétien, la maj
12 x-ci, au nom du Christ, ont déclaré la guerre aux ennemis du nom chrétien. On reconnaît ici les thèses fondamentales de la Mon
13 t (le) roy des Abyssins sont chrétiens tous deux, ennemis et frontiers du Turc, quoique bien éloignés l’un de l’autre. Mais le
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
14 rs, qu’elles respectent les ambassadeurs de leurs ennemis , qu’elles conviennent ensemble de la prééminence et de quelques droit
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
15 et leurs colonies. Les peuples sauvages sont les ennemis communs de toutes les sociétés civilisées ; nous allons examiner si l
16 nt l’étendue de leur danger et le nombre de leurs ennemis . Au-delà du Danube et du Rhin, les pays septentrionaux de l’Europe ét
17 et de l’Italie. Les Huns, qui fuyaient devant un ennemi victorieux, dirigèrent leur marche vers l’Occident, et le torrent s’a
18 a carte du monde, peut nous présenter de nouveaux ennemis et des dangers imprévus. Les Arabes ou Sarrasins, qui étendirent leur
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
19 t-elle besoin d’alliés, lorsqu’elle n’aura plus d’ ennemis  ? Il n’est pas loin de nous peut-être, ce moment où la liberté, régna
20 ui se disaient partisans du fédéralisme — et leur ennemi Robespierre fut le premier à dire le mot, si l’on en croit le diction
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
21 situdes d’une guerre sanglante touchent nos seuls ennemis  ! Et que les nations, s’unissant et se libérant, soient gouvernées se
22 ce que les premiers ont déjà mangé maintes tribus ennemies , tandis que les seconds savent tirer un meilleur parti des vaincus ;
23 rre »147. Mais de fait, l’Angleterre va devenir l’ ennemie du continent conquis par les idées de la Révolution ; et la politique
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
24 r combattre, avec son frère en la foi français, l’ ennemi commun. Le sujet français tire l’épée contre une patrie qui le maltra
25 foule de conditions. Pour eux l’étranger était un ennemi ou un barbare. On peut au contraire considérer les peuples de la nouv
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
26 gion ». Bien plus, à l’en croire : Le plus grand ennemi de l’Europe, qu’il importe d’étouffer par tous les moyens qui ne sont
27 cœur humain, et lui ne voit dans la Réforme que l’ ennemi juré de l’unité. Ne serait-ce pas qu’il se fait de l’unité la même id
28 n commune des mœurs opposés ; et, rapprochant des ennemis , elle en a fait des nations dans lesquelles les hommes énergiques for
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Goethe
29 s l’affection des uns pour les autres et contre l’ ennemi du dehors… Qu’elle soit une en ce que ma malle puisse circuler à trav
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
30 ntrainte périmée. Le savant est instinctivement l’ ennemi du clergé dans sa forme ancienne ; la classe intellectuelle et la cla
31 d’une confédération d’États. Et quels seront les ennemis de cet Empire germano-catholique enfin relevé ? Non pas la Russie, « 
32 ; même dans la capitale de l’empire turc un noble ennemi honora par un service funèbre public la mémoire du grand monarque qui
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
33 s le cercle étroit que lui assignaient les tribus ennemies . Ce serait faux et aller à fin contraire que de rechercher à laquelle
34 peuples différents par leur origine, souvent même ennemis héréditaires, un aspect uniforme faisant croire à une descendance com
35 lège ou de l’égoïsme des intérêts. Et quant à nos ennemis , ils sont à la merci de notre travail. Ils ne sont forts que par nos
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
36 s ambiguïtés que nous retrouverons chez ses amis, ennemis et successeurs russes sont en germe dans ces Lettres : « Il nie l’his
37 ions-nous pas, au contraire, mettre à la raison l’ ennemi de l’Europe et de son ordre par le même « fer et feu » que le prince
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
38 me des masses actuelles. Ce ne sont pas les pires ennemis de Rome qui ont sauvé l’Europe, mais bien les ennemis les plus opiniâ
39 mis de Rome qui ont sauvé l’Europe, mais bien les ennemis les plus opiniâtres de l’Espagne : les Hollandais, l’Angleterre (la p
40 combats du passé, le désir constant d’anéantir l’ ennemi , nous ne pourrions, nous autres tard-venus de l’humanité, tenir pour
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
41 r exploiter par le fanatisme sans vergogne de ses ennemis . L’humanisme européen est-il devenu incapable d’une résurrection qui
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
42 é nouvelle de chrétien comme Rome conférait à ses ennemis de la veille la cité romaine. Il s’étend peu à peu dans le lit de la
43 aient. Les Romains méprisaient les étrangers, les ennemis , les vaincus, leurs sujets, leurs esclaves ; aussi n’ont-ils eu ni ép
44 n motif légitime de mépris. Ils regardaient leurs ennemis vaincus comme étant en horreur à Dieu même et condamnés à expier des
45 sort, ne jamais admirer la force, ne pas haïr les ennemis et ne pas mépriser les malheureux.284 Ne jamais admirer la force…
19 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
46 es, ce jeu peut continuer aussi longtemps que les ennemis de l’Europe lui en laisseront le loisir, pas davantage. 324. Texte