1 illi par la réprobation sournoise d’une épicière. Ennui de traverser le village, quand on se sent observé derrière les fenêtr

2 on travail et de ses conditions pratiques. Petits ennuis sans gravité, bien sûr. Mais quel drame dans la vie d’un buraliste de

3 avorable à mon travail, surpassant finalement mes ennuis matériels. De là à croire que je ne suis qu’un amateur, ou que je pos

4 inquiétude. Ou encore, de le passer ailleurs sans ennui . 15 juin 1934 Bon vent du destin souffle encore : au courrier d

5 i par s’établir entre nous ; et il ne reste que l’ ennui de nos conversations toujours pareilles. Grande différence entre eux

6 elui qu’on ne cherche pas comme une réponse à son ennui — faut-il dire à sa peur — de vivre. Cette manière romantique, et som

7 ès certainement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du voyage, le temps perdu et les fatigues, bien qu’elles paraissent s

8 s diront d’abord que le fond de leur vie, c’est l’ ennui . Ils expliqueront presque toujours cet ennui par les conditions du tr

9 st l’ennui. Ils expliqueront presque toujours cet ennui par les conditions du travail créées depuis la guerre dans les campag

10 riche et de propriétaires ruinés ; et surtout cet ennui dans la jeunesse rurale, ce sentiment d’être à l’écart du monde, — et

11 monde », on s’agite plus vivement, sur un fond d’ ennui multicolore. Ici tout est plus calme, la joie, si joie il y a, est sa

12 sais et c’est plus grave qu’ils ne le croient. L’ ennui dans le monde actuel, c’est un de ces derniers signes, une de ces der

13 uves concrètes de notre vocation spirituelle. Cet ennui qui envahit le monde moderne possède une signification métaphysique e

14 ette « attente ardente » dont parle saint Paul. L’ ennui sera la condition des hommes qui auront tout sauf la seule chose néce