1 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
1 à une double explosion au sein des institutions d’ enseignement supérieur : explosion du savoir, qui se traduit par un accroissement
2 pourquoi sans doute on la pose si rarement. Notre enseignement vise-t-il à former des personnes réelles et complètes, ou seulement d
3 r sans plus tarder le nombre des établissements d’ enseignement supérieur. D’une part, les universités existantes seraient progressiv
4 iner l’accroissement de l’entropie au niveau de l’ enseignement , mais ne répondra pas au défi de la division du savoir en langages sp
5 an, les professeurs détachés reviendraient à leur enseignement , porteurs d’une sorte de radioactivité, — les uns mûris, les autres r
2 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
6 is contact avec des historiens, des professeurs d’ enseignement secondaire, des éditeurs. Nous avons d’autre part lancé une Campagne
3 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
7 Il faut dénationaliser l’ enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)ao Certains pédagogues, pour ne pas p
8 is l’école doit changer. Il faut dénationaliser l’ enseignement . Quel sens peut avoir pour un enfant l’histoire suisse, s’il ignore c
9 apprentissage totalement négligées aujourd’hui. L’ enseignement fortuit, au hasard des occasions… Aucune place ne lui est faite — et
10 ictoires : d’une part, on tend à individualiser l’ enseignement au maximum, de manière que chaque élève puisse travailler à son rythm
11 t nécessaire. Je ne vois pas d’opposition entre l’ enseignement individualisé et le travail collectif, mais bien une complémentarité.
12 Lausanne, Genève. ao. « Il faut dénationaliser l’ enseignement  : un entretien avec Denis de Rougemont », Gazette de Lausanne, Lausan