1 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
1 e la pédagogie. La première est celle qui régit l’ enseignement primaire. Elle pourrait être caractérisée par les traits suivants : u
2 Genève a contribué à assouplir les méthodes de l’ enseignement primaire dans plus d’un pays, et même en Suisse. Si l’on prend pour p
3 es étrangers). Quant aux établissements publics d’ enseignement , il importe de rappeler tout d’abord qu’ils sont organisés sur une ba
4 obligatoire et gratuite. Les écoles privées ou l’ enseignement familial sont autorisés, mais à la condition que les élèves ainsi for
5 es mixtes. On a poussé très loin la gratuité de l’ enseignement , car non seulement les « écolages » sont interdits par la Constitutio
6 en perdre de leurs droits souverains en matière d’ enseignement , sont au contraire mis en mesure de les mieux exercer par l’appoint m
7 auté fédérale. Au reste, la décentralisation de l’ enseignement demeure extrême. Le gouvernement cantonal émet des directives général
8 e peut-être moins d’une histoire commune que d’un enseignement uniforme de cette histoire ; et moins d’une similitude de mœurs que d
9 uelques aperçus sur les formes parascolaires de l’ enseignement et de la formation civique. Le didactisme inhérent à l’esprit helvéti
10 eût été chargé de préparer une loi uniforme sur l’ enseignement primaire. Cette tentative centralisatrice n’a pas été renouvelée. 34