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citant une série d’exemples. À la question : « L’
enseignement
(chez vous) subit-il des influences politiques ? » tous nos rapporteu
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oute dialectique matérialiste visant à faire de l’
enseignement
de l’histoire un instrument de combat ou de propagande. Saluer avec j
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le rapporteur bulgare écrit que les prémices de l’
enseignement
historique dans son pays sont aujourd’hui les suivantes : « Plier le
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effectivement à une « mise au pas » générale de l’
enseignement
supérieur. Mais souvent encore, les nominations de professeurs sont f
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s lois qui existent, la radio et l’information, l’
enseignement
et la recherche scientifique. Il suffira de passer d’un stade de déso
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ination, initiatives dans les domaines suivants :
Enseignement
européen dans les écoles primaires et secondaires — Formation des ins
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hérités de plusieurs guerres, ou inculqués par l’
enseignement
à tous les degrés, depuis un siècle. Les efforts d’union entrepris de
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ltipliées : instituts de recherches nucléaires, d’
enseignement
européen dans les universités, d’éducation scolaire et populaire ; fe
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vie musicale, la vogue des festivals ; et dans l’
enseignement
, la notion subversive d’une entité européenne qui ne fût pas simple a
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C a été investi dans deux domaines principaux : l’
enseignement
supérieur et la formation des futurs citoyens de l’Europe. Certes, l’
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tion, civisme et culture16 Que l’on s’occupe d’
enseignement
de l’histoire, de la géographie ou de l’économie, dans le cadre d’une
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t et le sentiment des jeunes gens confiés à votre
enseignement
. ⁂ Qu’est-ce que le civisme ? On peut le définir d’un seul mot, qui
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nt maintenant aux problèmes plus spécifiques de l’
enseignement
des arts, je voudrais formuler quelques propositions méthodologiques,
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uement autant que socialement et politiquement. L’
enseignement
de l’histoire des arts, depuis le romantisme, est dominé par la notio
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On sait que le grand public adulte bénéficie de l’
enseignement
de quelques maîtres de lecture : les commentateurs attitrés de l’actu
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à une double explosion au sein des institutions d’
enseignement
supérieur : explosion du savoir, qui se traduit par un accroissement
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ourquoi sans doute on les pose si rarement. Notre
enseignement
vise-t-il à former des personnes réelles et complètes, ou seulement d
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ynthèse. Dans le domaine qui nous occupe ici de l’
enseignement
supérieur, trois solutions paraissent concevables, a priori. La premi
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r sans plus tarder le nombre des établissements d’
enseignement
supérieur. D’une part, les universités existantes seraient progressiv
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iner l’accroissement de l’entropie au niveau de l’
enseignement
; elle ne répondrait pas au défi principal de la division du savoir e
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an, les professeurs détachés reviendraient à leur
enseignement
, porteurs d’une sorte de radioactivité — les uns mûris, les autres ra
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d’ingénieurs. Mais si l’on subordonne tout notre
enseignement
à leur seule formation spécialisée, il en résultera, primo, que nous
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aines tâches de première importance, telles que l’
enseignement
secondaire et surtout universitaire. Il ne s’agit aucunement de recré
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inorités, conformismes idéologiques imposés par l’
enseignement
étatique, budgets culturels dérisoires, mainmise des fonctionnaires s
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des disciplines traditionnelles. Et d’abord, leur
enseignement
, aux trois degrés. Géographie. — Toute géographie « nationale » fond