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ous-mêmes, d’abord ; à tous ceux qui voudront les
entendre
; à ceux auxquels, peut-être mieux qu’à nous, il sera donné de les co
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que Genève, choisirait Détroit. Il s’agirait de s’
entendre
; mais pour cela il faudrait tout d’abord connaître la position du ca
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ui ne savent pas ce que c’est que la foi. Si l’on
entend
par vie non seulement la vie naturelle, mais l’ensemble des relations
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clairement à ceux qui croient à leur question, j’
entends
à ceux qui nous la posent parce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y
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asse ? » Car, où la foi existe, existe le savoir.
Entendons
maintenant cette phrase capitale de Kierkegaard : « L’Éthique ne comm
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la « tristesse » du message barthien, puisqu’ils
entendent
désigner par là l’acceptation de la mort et du rien, de l’insondable
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es pierres et des constellations à son tour, fait
entendre
un langage qui n’est pas celui des humains, c’est à la raison seule q
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est lui-même une question que Dieu ne semble pas
entendre
. L’homme antique, c’est Adam dessaisi de sa royauté ; et l’univers an
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l’existence dépouillé de toute autre affection » (
entendons
: dégagé de toute passion, comme aussi de toute responsabilité !) ; i
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e à l’homme dans un langage ineffable qui se fait
entendre
dans l’intérieur de son âme, dans une partie de son être inconnue à l
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un peu moins fort, ce serait bien édifiant de les
entendre
… Le seul avantage de cette situation, c’est qu’elle a quelque peu imm
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à Kierkegaard exactement le contraire de ce qu’il
entendait
. Car il est évident que notre double effort pour nous re-présenter Jé
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qu’il annonce. L’important, c’est qu’il soit bien
entendu
que tout cela n’exprime encore que notre réalité humaine. L’important
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mais c’est ce que je sens profondément. Quand on
entend
des évangélistes vous ressasser leurs expériences, on se croit toujou
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professeur des choses de Dieu… Ce que j’ai vu et
entendu
c’est cela qu’il me faut attester… Et je l’atteste ! Oui, je l’attest
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professeur enseigne, si ce n’est ce qu’il a vécu,
entendu
et vu de ses yeux, son expérience la plus profonde, la seule chose do
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iscuter, qu’aucun de nous ne sait ce qu’il dit. J’
entends
exactement : aucun de nous ! Nous parlons tous avec beaucoup de convi
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ilà qu’il ne sait plus ce qu’il dit ! Vous l’avez
entendu
tout à l’heure. Il répétait : Qu’est-ce que j’ai vu ? Qu’est-ce que j
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vez-vous surmontée ? Quelquefois, lorsque je vous
entends
, il me semble que vous essayez plutôt de la conjurer par des formules
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e, encore que cette vérité ne soit point facile à
entendre
. Je ne sais si c’est un « barthien », au sens que certains « libéraux
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empêcher tous de parler, c’est-à-dire, si je vous
entends
bien, devrait nous empêcher tous de dire des choses complètement impo
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cène et une communion imparfaites, c’est qu’on n’
entend
pas que c’est l’Église qui sait le secret de Jésus-Christ, qui sait c
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eu. Mais c’est ici que Bossuet nous arrête : « Qu’
entendez
-vous, nous dit-il, par “fidèle” ? — Nous entendons : fidèle à la Révé
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entendez-vous, nous dit-il, par “fidèle” ? — Nous
entendons
: fidèle à la Révélation donnée une fois pour toutes par Dieu lui-mêm
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e témoigne. — C’est, rétorque Bossuet, que vous n’
entendez
pas que c’est l’Église, et non pas la seule Écriture, qui sait le sec
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que la Parole ne parle pas, que l’Esprit soit mal
entendu
, c’est-à-dire que la foi défaille. Mais quelle cohérence logique, que
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e, sur la méconnaissance de l’un des termes qu’on
entend
concilier. On ne peut pas incorporer impunément Aristote à une tradit