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e nouvelle. Je crois que l’époque est mûre pour l’
entreprise
et que, dans les deux camps, on l’a senti. L’esprit rationaliste lui-
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t toujours un peu bêtes, mais à l’ensemble de nos
entreprises
économiques, politiques et urbaines.) Reprenons ce récit trop mal con
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nstruction de ce premier gratte-ciel, c’est que l’
entreprise
était trop vaste, simplement. En effet, pour mener à chef l’édificati
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rpenter, ou de crépir. À cause de l’énormité de l’
entreprise
, ces équipes spécialisées vivaient à part les unes des autres. Avec l
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issolvant les groupes organisés autour de petites
entreprises
. Les richesses, elles aussi, se sont tant agrandies qu’elles ont écha