1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
1 rait, triche au jeu des affaires, spécule sur les entreprises coloniales, réduit à l’intérêt tous les motifs de l’âme, et ne croit
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
2 ystématique de l’espace terrestre et cosmique fut entreprise par les Européens, et par eux seuls, et qu’elle devint, dès le xvie
3 encore, les conquêtes militaires et commerciales entreprises par les rois d’Europe « au nom du Christ »… Tous ces motifs éclairent
4 fs : « Car c’était la fin et le commencement de l’ entreprise , qu’elle dût conduire au développement et à la gloire de la religion
5 esque démente, qui a failli faire manquer toute l’ entreprise , le désir d’une gloire inouïe qui vengerait ses frères humiliés51, la
6 jours le plus bas52, ceux-là « ramènent » toute l’ entreprise des Indes à l’obsession de l’or et de la conquête. Mais ces motifs so
7 éfinie qui nous transforme ? Le produit brut de l’ entreprise des Espagnols fut l’or, aussitôt lié à l’esclavage. Et pour ceux qui
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
8 t pas encore, il s’en faut, au terme parfait de l’ entreprise , mais il a déjà le droit de le rêver accessible. (Les inondations, le
9 mat social et politique devenu très favorable aux entreprises brutales de ceux que l’on baptise « capitaines d’industries » et qui
10 pparaître un jour prochain comme le vrai but de l’ entreprise  ? Ceci suppose, évidemment, qu’un certain point de saturation des bes
11 onstruction d’amusette scientifique ». 73. Sur l’ entreprise spirituelle de l’Alchimie, je ne puis que renvoyer aux œuvres de C. G
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
12 ais rien ne permet de préjuger du résultat de ses entreprises , qui peut être aussi bien ce « bonheur » dont parle la Constitution a