1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
1 it exemple que je mentionne faute de mieux pour l’ entreprise et non pour le succès. Il y aurait tout et tant à dire sur la renaiss
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
2 le frisson d’une aventure commune et constructive entreprise à tout risque, libres des « intermittences du cœur » de Proust et du
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
3 Sinon nous laisserons le champ libre à toutes les entreprises désespérées qui passionnent les masses incroyantes. Il se pose là, me
4 les nôtres. Je prends ici parti contre une telle entreprise , pour les mêmes raisons, mais aggravées, qui me faisaient prendre par
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
5 cherchais de l’argent, comme il arrive, pour une entreprise culturelle. J’allai voir un industriel qui fabrique d’énormes turbine
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
6 n souligner quelques traits qui importent à notre entreprise . Le principal est celui-ci : la théologie de l’œcuménisme subsiste et
7 ralisme part des groupes locaux (région, commune, entreprises , etc.) et l’œcuménisme reconnaît pareillement leur valeur (Églises di
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
8 es, mais à l’intention polémique qui dirigea leur entreprise , et qui imposa leur angle de vision même à ceux qui refusaient leurs
9 omies des États-Unis et de l’URSS, a montré que l’ entreprise communiste n’apporte rien qui la distingue essentiellement de l’entre
10 pporte rien qui la distingue essentiellement de l’ entreprise capitaliste dans son développement historique, mais qu’après quarante